Découvrir la symptothermie

La symptothermie moderne est une méthode scientifique basée sur l’observation du corps. Son efficacité est reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé.

L’observation combinée de plusieurs indicateurs de fertilité explique l’amélioration notable de la fiabilité de la symptothermie moderne par rapport aux méthodes qui l’ont précédée.

Petite histoire de la symptothermie

La grand-mère de la symptothermie moderne s’appelle la Méthode Ogino. Plutôt connue pour son manque de fiabilité, cette méthode a été théorisée en 1930 au Japon et s’est démocratisée en Europe au milieu du siècle. La méthode Ogino se basait uniquement sur la durée des cycles, ce qui explique son manque de fiabilité.

Vulgarisée sous le nom de la méthode Döring au milieu du siècle, un nouveau protocole s’intéresse à l’évolution de la température au cours du cycle.

Dans les années 1960, la méthode Billings se fait connaître à son tour, et se base sur une observation fine de l’évolution de la glaire cervicale au cours du cycle.

Finalement, Rötzer exploite les acquis des précédents protocoles pour mettre au point la méthode des indices combinés en 1965, qui comme son nom l’indique prend en compte plusieurs facteurs pour comprendre un cycle.

En pratique

Concrètement, la symptothermie consiste à prendre sa température au réveil (pendant une partie du cycle), observer l’évolution de ses pertes vaginales et le noter en fin de journée sur un graphique.

Riche de ces 2 informations, on interprète ses observations pour savoir si on est infertile ou non. On adapte sa vie sexuelle en fonction de notre fertilité et de nos envies. Ce n’est pas sorcier finalement 🙂

Qui se cache derrière Destination Symptothermie ?

Utilisatrice expérimentée avant tout, j’ai à cœur de vous accompagner dans les meilleures conditions.